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Dans la France de la deuxième moitié du XIXème siècle, entre les révoltes ouvrières de 1848 et 1871, des groupes de femmes et d’hommes, bravant les interdictions édictées par Napoléon « le petit », avaient coutume de se réunir dans des cercles, des associations de toutes sortes. La raison d’être d’un cercle était de grouper les hommes par affinité, pour d’agréables loisirs communs. Une autre était la lecture collective des journaux, qui se faisait à haute voix, dans les réunions populaires o...

Dans la France de la deuxième moitié du XIXème siècle, entre les révoltes ouvrières de 1848 et 1871, des groupes de femmes et d’hommes, bravant les interdictions édictées par Napoléon « le petit », avaient coutume de se réunir dans des cercles, des associations de toutes sortes. La raison d’être d’un cercle était de grouper les hommes par affinité, pour d’agréables loisirs communs. Une autre était la lecture collective des journaux, qui se faisait à haute voix, dans les réunions populaires...

Dans la France de la deuxième moitié du XIXème siècle, entre les révoltes ouvrières de 1848 et 1871, des groupes de femmes et d’hommes, bravant les interdictions édictées par Napoléon « le petit », avaient coutume de se réunir dans des cercles, des associations de toutes sortes. La raison d’être d’un cercle était de grouper les hommes par affinité, pour d’agréables loisirs communs. Une autre était la lecture collective des journaux, qui se faisait à haute voix, dans les réunions populaires...