Premier bilan (printemps 2011)

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Le 26/05/2016 à 08:52


«?Bien sûr, nous avons eu davantage de soirées défaites que de matins triomphants...? ?Et, à force de patience, nous avons gagné le droit précieux de recommencer.?»?

Daniel BENSAÏD

Renouveau

  L’année 2010 est marquée du sceau du renouveau après une période d’incertitude, d'attente et de relative paralysie.Comme nous le notions lors de notre dernière assemblée générale, la fin de non recevoir opposée par les pouvoirs publics à nos multiples démarches en vue d’obtenir une reconnaissance de notre travail ainsi que les financements afférents, nous ont astreints à refonder notre projet initial. Ce rejet irrémédiable alarma également la Fondation Abbé Pierre (FAP), qui  soutenait « le temps des cerises » dans l’espoir, jamais concrétisé, de sa labellisation comme « maison relais ».Mais ce ne sont  pas les seules raisons qui nous incitèrent à opérer un tournant, à promouvoir un « cours nouveau. »[1] L’unique activité d’hébergement autour de la prise en charge d’une population vieillie, dont les perspectives d’avenir s’amenuisent année après année, menaçait de sclérose toute l’association.Les tentatives des salariées de recréer une dynamique au moyen d’activités, d’un journal, d'un blog, de soirées conviviales etc. s'étaient toutes soldées par des échecs. Probablement parce que les résidents, rongés de multiples angoisses, parviennent difficilement à exister  au  présent, et, à fortiori, imaginer un  futur. Mais aussi parce que nous avions échoué à ouvrir l’association en direction de personnes étrangères à l’univers frelaté de la compassion administrative distillée par l'aide sociale organisée. Sous peine de ghettoïsation et, à court terme, de probable délitement, il fallait en sortir. Lentement nos vieilles lunes émergèrent comme après  une longue éclipse.On reparla projets, solidarité active, mixité sous toutes ses formes, résistance à l’air du temps… Lors des réunions du conseil d'administration, l'idée de développer de nouvelles activités, tout en maintenant notre mission première de logement social, fit son chemin.En particulier, le projet d'ouverture d'un restaurant titillait les militants de l'association. Cette piste avait d'ailleurs été évoquée du temps de la splendeur d'OSER, mais sans jamais aboutir. L'infrastructure existante[2], en sommeil depuis tant d'années, pouvait grâce, à quelques travaux au coût raisonnable, recouvrer sa vocation initiale.Par ailleurs, nous disposions d'une salle sous utilisée pouvant accueillir environ quatre vingt personnes pour des réunions, des spectacles ou des projections, au prix d'un toilettage et d'une mise aux normes de sécurité. Nous projetâmes d'organiser l'activité de RESO sous la  forme d'un triptyque : au centre, l'hébergement ; sur un des cotés, un restaurant ouvert à tous les publics ; sur l'autre aile, un espace de rencontres associatives, culturelles, politiques. Les « deux volets sont mobiles et susceptibles de se rabattre sur le panneau central en le recouvrant exactement[3] » ; les trois activités se nourrissant les unes des autres et prospérant en synergie. Ainsi fut conçue l'allégorie, en ce printemps 2010. Les grandes lignes du projet sont approuvées lors de l’assemblée générale du 29 mai. L’ouverture du restaurant est fixée début septembre, le lancement de l’espace rencontre à la fin de l’automne.Rapidement nous étayons notre projet que nous matérialisons sous forme d’un dépliant publicitaire détaillant l’ensemble des activités de RESO. Dans le prolongement du « Temps des cerises », nous décidons de baptiser notre futur rejeton « La Canaille ». Sur le fond, le principe était d’éviter de créer un nouveau lieu « dédié » voué à recevoir les seuls « publics défavorisés », « bénéficiaires de minimas sociaux », « personnes en difficultés », etc. Les tarifs modiques pratiqués par l’établissement (7,50 € pour un repas complet incluant boisson et café) autoriseraient la fréquentation de ce lieu par toutes les bourses, mais en garantissant l’anonymat social, puisque aucun justificatif de ressources ne serait demandé avant de passer la porte. Concernant l’activité d’hébergement au « Temps des cerises », nous réaffirmions notre volonté de favoriser la mixité sous toutes ses formes : mixité d’âge, de situations de familles, de parcours, d’histoire de vie… De même que la volonté de l’association de faire cohabiter des populations très différentes les unes des autres, leur seul point commun étant la faiblesse de leurs revenus et leur isolement, leurs difficultés d’exclusion sociale. Quant à l’espace rencontre, dénommé « Olympe de Gouges », il devait favoriser l’accès à la culture, à la connaissance, au loisir « intelligent », pour des publics qui en sont éloignés par manque d’information, d’habitude, ou de moyens financiers.  Le coût d’un spectacle n’excède pas 5 €. Mais nous voulions faire plus : ces nouvelles activités ne devaient pas se limiter à proposer une possibilité de s’alimenter ou de participer à des activités culturelles. Comme les autres champs investis par RESO, elles se  proposent d’être un support pour établir des alliances entre les divers secteurs sociaux atteints par la crise qui, avec ses diverses facettes - écologique, alimentaire, financière…-, rend la réflexion et l’action collective plus nécessaire que jamais. Forts de nos concepts, nous avons rencontré le délégué régional de la FAP nouvellement nommé, Marc UHRY, pour examiner dans quelles conditions la Fondation pourrait continuer à nous apporter son précieux soutien. Il fut sensible à nos arguments, notamment  notre volonté de ne pas cibler, stigmatiser, pointer du doigt des populations contrôlées et encadrées, accablées par mille tracas, du seul fait de leur pauvreté ou de leur comportement jugé « déviant ». Dans une interview au « Progrès », il déclarait : « La porosité entre des gens aux parcours compliqués et les citoyens ordinaires, cela nous paraissait bien. On sort de l’image misérabiliste, on est dans la logique ou chacun rend service à l’autre.La restauration, l’utilisation d’une salle pour du cinéma, des animations, de la formation, c’est une manière d’être au carrefour de la vie du quartier, de la ville. » La subvention annuelle fut reconduite pour un montant de 26000€[4], l’association s’engageant à trouver des financements complémentaires pour équilibrer le budget. Ouvrir un restaurant n’est pas une mince affaire. Et la tâche s’avéra plus dispendieuse en temps et en énergie que nous l’avions imaginé en écrivant le projet. Sa réalisation  nécessite à la fois des démarches auprès de diverses administrations et une mise en place matérielle efficiente. L’autorisation d’ouverture est demandée et obtenue assez facilement auprès de la Direction Départementale de la Protection de la Population[5]. Curieusement, aucune visite préalable n’est effectuée par ce service. Afin d’obtenir une licence gratuite permettant la vente d’alcool pour agrémenter les repas, notre Président  se dévoua pour faire un stage, obligatoire et onéreux, de trois longues journées, au cours desquelles il apprit stoïquement les règles imposées à tout débiteur de boissons. L’AGLCA nous prodigua de nombreux et précieux conseils et nous fit bénéficier d’une mission d’appui du DLA.[6]Le principal problème réglementaire est de déterminer le régime fiscal applicable à ce nouvel établissement. Nous avons opté, après  avis de notre expert comptable,[7] pour conserver  notre statut associatif. Mais une association à but non lucratif peut-être fiscalisée pour tout ou partie de ses activités.Ce n’est pas le régime fiscal qui définit le caractère lucratif d’une association mais le versement de bénéfices éventuels au profit de ses administrateurs. Et c’est l’activité de l’association qui détermine, en fonction de règles précises, le régime fiscal auquel elle est soumise. En conséquence, la nouvelle activité de restauration peut à la fois acquitter l’impôt (TVA, impôt sur les sociétés) et être régie par la Loi de 1901. La question n’est toujours pas définitivement tranchée et nous attendons la réponse des services fiscaux que nous avons interrogés par courrier.[8] Pour nous approprier les règles d’hygiène alimentaire et effectuer les aménagements nécessaires dans la cuisine, nous avons demandé au Laboratoire départemental d’analyses de l’Ain[9] d’effectuer une visite dans nos locaux afin d’établir un diagnostic. Les principales prescriptions de cet organisme portèrent sur l'agencement de la plonge, d’un local à usage du cuisinier ainsi que la réfection des sols et du plan de travail. Une équipe de militants, complétée occasionnellement par des professionnels du bâtiment, passa une partie de l’été à aménager cet espace essentiel. Il fallut bien sûr dénicher du mobilier de restauration compatible avec nos possibilités financières, c’est à dire pas cher : Un voyage à Paris pour ramener un lave vaisselle professionnel, un autre à Villefranche sur Saône pour les tables et les chaises d’occasion, quelques investissements complémentaires pour acquérir cafetière, ustensiles, assiettes, verres, plats, couverts, etc. Nous dûmes également établir des  liens avec des fournisseurs. Notre profession de foi annonçait la couleur : « Sans tomber dans l’intégrisme bio, nous souhaitons offrir une nourriture équilibrée et de qualité » et prétendons « concourir à l’orientation vers une alimentation responsable en fonction des véritables besoins, remettant en cause la consommation excessive, anti-écologique, non nécessaire, superflue et injuste. » Comme, ajoutions-nous, « manger des fraises en janvier et des cerises en octobre. » Malheureusement, nos recherches de petits producteurs locaux  à même d’assurer des livraisons régulières de produits frais tout au long de l’année furent infructueuses.Peut-être n’avons nous pas frappé aux bonnes portes ou insuffisamment prospecté. Toujours est-il que nous dûmes nous rabattre sur des grossistes après quelques quêtes exténuantes réalisées par un militant de l’association sur le marché local du samedi matin. Pour les produits secs, un seul fournisseur, Metro, comme l’immense majorité des restaurateurs. Le recrutement d’un (ou d’une) cuisinier(e) nous causa bien des tracas. Nous rêvions d’un cuistot militant qui non seulement « assure » mais soit de surcroit en osmose avec le projet de l’association. Une personne « faisant bien la bouffe », capable de gérer des commandes auprès des fournisseurs, impeccable sur l’hygiène et la sécurité alimentaire, capable d’initiatives, le tout dans un horaire hebdomadaire de 25H ! Nous fîmes trois expériences malheureuses en l’espace de quelques semaines. La première embauchée nous avait effrontément abusés quant à ses capacités comme son expérience professionnelle. Nous ne donnâmes pas suite à sa période d’essai. Le second, bon cuisinier mais soupe au lait, claqua la porte sans plus de façon au beau milieu de son service. Quant au troisième, il ratait régulièrement ses desserts et amenait ses livres de cuisine au boulot pour « réviser »… Mais surtout, notre erreur consista à penser que notre ambition était compatible avec les préoccupations de salariés qui aspirent avant tout (et c’est légitime) à percevoir un salaire en échange d’une prestation clairement définie et effectuée dans un cadre horaire déterminé. Il n’est pas envisageable d’exiger d’eux qu’ils participent, en plus de leur temps de travail, aux réunions d’équipe, voir au Conseil d’Administration, aux discussions budgétaires, qu’ils soient présents aux multiples initiatives de l’association, etc. Un militant associatif le fera naturellement, même si c’est à des degrés divers en fonction de ses disponibilités : pour la simple raison qu’il adhère justement  pour soutenir l’association et aider à son développement. Notre projet est exigeant. La qualité et l’originalité culinaire souhaitée s’accommode mal des fonds de sauce lyophilisés, des crèmes brûlées en sachet et de la vinaigrette conditionnée en bidon de cinq litres. Or, l’immense majorité des restaurateurs proposant un « plat du jour » ou une « formule » ne  mitonnent  pas les mets qu’ils procurent à la clientèle. Les objectifs que nous poursuivons sont différents. Ils impliquent la mise en mouvement  de qualités professionnelles et de prises d’initiative autrement pointues que celles requises  dans les « fast food » et autres « Mac Do. » De surcroit, nous ne voulions pas que les clients se disent après leur visite que, « certes, ce n’est pas cher, mais ça ne vaut pas plus » ou encore : «  pour 7,50€, on ne peut pas exiger la qualité. » La mise en pratiques de telles résolutions suppose un investissement considérable, une collaboration importante, la réduction de la division du travail et de  la parcellisation des tâches, le développement d’initiatives sans entraves hiérarchiques, en un mot, un fonctionnement autogestionnaire. Heureusement, nous pûmes compter sur les adhérents de l’association, enthousiasmés par ce nouveau « challenge ». Entre juin et septembre, nous avons passé un temps démesuré à la mise en place de cette nouvelle activité. Avec une équipe restreinte de militants et en l’absence de la seule salariée à plein temps de l’association, alors en congé maladie. Certains ont écourté leurs congés, voire y ont renoncé, pour que tout soit prêt pour le grand jour. Cet activisme s’est fait parfois au détriment de notre présence auprès des résidents de la pension de famille, dont un certain nombre s’est sentit délaissé. L’inauguration officielle eut lieu le week-end qui précédait l’ouverture. Nous avions organisé une discussion après la projection du beau film d’Alain FABBIANI, « Des vies à l’hôtel », présentant une série de rencontres émouvantes entre l’auteur et des résidents du « temps des cerises ».Frédérique MOZER, déléguée de la FAP nous fit l’amitié de sa présence. Rémo Gary (ou bien était-ce Rémi Garraud ?)  chanta « La Canaille », mêlant couplets d’Alexis BOUVIER  et textes de Maxime VUILLAUME[10] Puis, musique et ripaille jusque tard dans la nuit. Comment vous dire ? A 11h30 le 6 septembre, nous n’en menions pas large, guettant fiévreusement le chaland en quête de pitance. Ce premier jour, 17 personnes nous firent l’honneur de goûter notre cuisine. Les jours suivants, la moyenne de 20 repas quotidiens, seuil fixé pour atteindre l’équilibre budgétaire, était atteinte, puis rapidement dépassée. Nous nous fîmes tour à tour serveur, barman, garçon ou fille de salle, cuisinier, plongeur… Il fallut apprivoiser la rutilante caisse enregistreuse qui n’en fait qu’à sa tête, domestiquer le lave vaisselle aux grognements incessants, s’adapter à la machine à café qui fait déborder les tasses et vous éclabousse en  jets intempestifs, traverser la salle  avec un sourire emprunté, un plateau de verres vacillants posé sur la paume de la main. Il fallut surtout,  à cause de la présence en pointillé d’un professionnel, imaginer et réaliser chaque jour un menu complet. Nous avions décidé d’expérimenter notre nouvelle activité durant quatre mois, puis de faire un bilan avant de poursuivre ou arrêter l’aventure. Dans notre esprit, les premières semaines ne seraient pas probantes : si l’on additionnait les amis, les réseaux militants, la famille, la curiosité, la nouveauté, il semblait facile d’atteindre  l’objectif fixé. Mais après ? Or, rien ne se passa comme prévu. Certes, les amis de toujours vinrent, chaleureux et en  nombre. Puis, rapidement, un public de salariés, d’étudiants, de retraités adopta notre « Canaille. » Dès la fin octobre, la moyenne atteignait puis dépassait 23 repas par jour. En plus du service de midi, nous proposons, sur réservation et à partir de 10 personnes, le repas du soir au même tarif, ce qui augmente ou permet de maintenir notre « moyenne. » Mais qui sont les convives de la Canaille ? D’abord des salarié(e)s du quartier : Conseil Général, SNCF, intérimaires travaillant sur des chantiers. Mais aussi d’ailleurs : archives départementales, ORSAC, salariés des impôts ou de l’inspection du travail, enseignants, journalistes…Ceux et celles « qui ne consacrent ordinairement qu’une demi-heure pour avaler un méchant sandwich arrosé d’un coca au prix exorbitant. »[11] Des retraité(e)s, isolés, qui en ont marre de cuisiner tous les jours ou d’avaler leur pitance apportée par quelque livreur pressé et blasé, sans avoir personne à qui parler, avec qui trinquer… Des étudiant(e)s boursiers ou non que « le manque d’argent oblige à faire l’impasse sur le moment du repas. »[12] Des associations qui réservent en soirée pour leurs repas de fin d’année ou pour tenir leur assemblée générale. Quelquefois des groupes de handicapés et leurs accompagnateurs. Des  familles n’ayant pas les moyens ou la place pour recevoir amis et parents et qui nous sollicitent pour arroser un anniversaire, la naissance du petit dernier, ou simplement pour se retrouver. Certains résidents de l’hôtel également, dont le repas est l’occasion de nouer des relations avec des clients, et surtout de se nourrir correctement.[13] Des dizaines d’anonymes, enfin, « avec leur fin de mois qui sonne creux »[14], qui viennent parce que c’est accessible, que c’est un vrai restaurant, qu’ils sont considérés, et ne subissent pas le regard inquisiteur et aigre du bénévole caritatif en faction. L’espace rencontre « Olympe de Gouges » se met doucement en place avec déjà l’organisation de plusieurs conférences, concerts, projections de film, rencontrant des succès divers. De nombreuses personnes découvrent les possibilités de notre salle dont le confort a été amélioré avec l’installation de toilettes, d’un écran et d’un vidéoprojecteur facilement accessibles, de sièges plus confortables… Surtout, les réticences à fréquenter ce lieu supposé malfamé sont tombées. Des syndicalistes (CGT, SUD) viennent y  tenir leurs réunions, de même que des groupes comme ATTAC, la FAC, le NPA, divers collectifs (Palestine, logement, immigration, etc.) La Croix Rouge tient des permanences et des formations. Europe Ecologie Les Verts a tenu son congrès départemental. Les premiers mois de l’année 2011 ont vu la fréquentation du restaurant augmenter avec une moyenne de 28 repas servis quotidiennement. A travers ce projet, notre souhait était « d’établir des passerelles entre les paysans, les travailleurs, les précaires, les femmes les immigrés, les jeunes, […] condition indispensable pour se diriger vers cet « autre monde possible » que les mouvements sociaux préconisent. » Nous ajoutions que « pour cela, il est essentiel de créer des espaces de résistance, de transformation et d’action collective. » Franchement, c’est bien parti !  

[1] Cf. rapport d’activité 2009.
[2]    Avant le rachat du fond de commerce par OSER en 1993, l'établissement était un hôtel restaurant.
[3]    « Le  ROBERT »
[4] Contre 35 000€ les deux précédentes années.
[5]DDPP : Fusion des Services vétérinaires et de l’hygiène
[6] Dispositif Local d’Accompagnement. Sa mission consista en une étude pour préparer l’ouverture et assurer la viabilité du projet.
[7] Monsieur TONNARD du cabinet AINDEX.
[8] La démarche auprès des services fiscaux porte le nom de rescrit. En droit romain, il désignait la réponse de l’empereur  aux questions adressées par les gouverneurs des provinces, les magistrats.
[9] Laboratoire agréé par la Ministère de l’économie et des Finances à délivrer des certificats d’analyse pour les contaminants microbiologiques.
[10] Maxime VUILLAUME : « Mes carnets rouges au temps  de la commune. »
[11] Voir notre dépliant publicitaire.
[12] Id.
[13] Pour les résidents qui sont adhérents de RESO, le prix du repas est de5€. La cuisine collective dont ils disposent au « Temps des cerises » est rarement utilisée et la plupart d’entre eux se nourrissent mal.
[14] Jean FERRAT : « En groupe, en ligue, en procession.

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